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frachatanay

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MessageSujet: mes écrits   mes écrits Icon_minitimeDim 5 Nov - 2:58

Il était une fois à Saint-Malo, un petit garçon, blond comme les blés qui aimait regarder les bateaux. Sa mère, était veuve. Elle lavait le linge pour se faire de l’argent. Un jour, le petit Yoann, eut une idée et si pour aider sa pauvre maman, il embarquait à bord de l’un de ses navires. Il le ferait clandestinement, bien sur car sinon on le refuserait probablement, vu son âge et sa petite taille. Yoann n’a que 10 ans. Il embarqua donc, la nuit lorsque les marins étaient en train de manger. Certes, il y avait une sentinelle, mais dès qu’elle aurait le dos tourné, il irait se cacher dans un petit coin. Il serait probablement découvert mais si cela se passait en pleine mer, ils seraient bien obligés de le garder car ils ne pouvaient faire demi-tour. En effet, c’est ce qui se passa. « Les gars venez voir ce que j’ai trouvé, vous avez vu, cette crevette ? Qu’est-ce que tu fais sur mon navire, gamin ? ». Yoann expliqua qu’il devait travailler pour aider sa pauvre mère. On lui fit faire les pires corvées, et il les faisait sans rechigner au gros étonnement de tous. Le capitaine le nomma mousse ce qui équivalait pour lui à faire les mêmes corvées.
Un jour, c’était le 29 février, quel bizarre mois que celui de février, le ciel se couvrit, la mer se fit menaçante et le brouillard tomba. Le capitaine, ne pouvait voir les récifs qui se trouvaient là. En effet, avec ce temps, le bateau avait dévié de sa trajectoire et se trouvaient aux alentours des Antilles. La mer se fit très forte et plusieurs marins furent pris par une mer déchaînée. Le bateau heurta un récif. Ce dernier déchira la coque et le bateau pris l’eau, les marins affolés jetèrent des objets qui pouvaient flottés et les porter jusqu’à une terre proche. Ils ne prirent pas garde à Yoann qui faisait sa prière demandant de le ramener sain et sauf auprès de sa pauvre maman. Il lui avait laissé une lettre, mais comprendrait-elle pourquoi, il avait cela. Yoann était tout ce qui lui restait au monde. Le bateau sombrait. A la surface de l’eau, il trouva un bout de coque. Celui-ci s’accrocha après. Ce qui lui arriva après, il ne s’en souvenait pas. Il se trouvait maintenant dans une barque avec des gens dont il ne comprenait pas le langage. Ils étaient noirs et l’enfant pris peur et voulu sauter de la barque, ils le retinrent. Ils caressaient les cheveux de Yoann. Arrivé sur l’île de la Guadeloupe, ils lui donnèrent à manger et à boire un liquide qui se trouvait dans une coque en bois, plus tard, il appris que c’était du lait de coco.
L’enfant grandit et devint un beau jeune homme. Une jeune fille lui fut présentée. Ils se marièrent et eurent une nombreuse descendance. Depuis son arrivée, des navires avaient accostés et c’est comme cela qu’il fit savoir à sa mère qu’il était vivant et surtout de ne pas s’inquiéter.
Une famille de la descendance de Yoann vivait dans un village de Savoie. Il y avait deux enfants. Une fille et un garçon qui avaient respectivement 12 et 8 ans. La fillette était blonde comme les blés et avait des yeux couleur bleu porcelaine, quant au garçon, il avait le teint mate les cheveux frisés et de grands yeux noirs. Le père ressemblait beaucoup à son aïeul, son épouse venait du nord de la France, elle possédait donc des cheveux blonds pratiquement blancs et avait les yeux bleus. Cette famille n’était pas acceptée par les villageois car trop fière.
Un jour, l’instituteur, convoqua les parents. Cette convocation concernait le petit Barnabé. « Faites-vous travailler Barnabé chez vous » ? Leur demanda t-il. « Non, pourquoi demandez vous ceci ? ». « Votre fils est particulièrement doué et dois sauter au moins une classe, sinon deux car il est meilleur que certains enfants de 10 ans. Par contre, j’ai un problème avec votre fille, lorsque je lui demande quelque chose, elle me répond systématiquement, de plus, elle ne travaille pas bien en classe. Pouvez-vous la raisonnez ? La faire travailler ? » « Bien sur, nous la feront travailler. » répondirent-ils.
Lorsqu’ils rentrèrent chez eux, le père gifla le petit d’être meilleur que sa sœur. Barnabé fut envoyé dans sa chambre. « Stella va donc porter du pain sec et de l’eau
à ton frère pour qu’il ne dise pas qu’on le brime. » Barnabé malgré, les brimades de ses parents, les respectaient et se disait que peut être, il avait fait quelque chose de mal.
Le lendemain, quand il alla à l’école, il passa devant l’épicier, celui-ci le trouvant si pâle, et ne sachant que faire lui donna des bonbons. « Tient petit, c’est pour la récréation, ils ne sont rien que pour toi car tu es bien palot, pitchoune, par rapport à ta sœur. ». Il était avec sa sœur. « Je le dirais à papa et maman et tu seras punit ».
Lorsque les enfants rentrèrent chez eux, Barnabé dit à sa sœur « S’il te plait, ne le dit pas à papa et maman. ». « Non je leur dirait et tu ne mangera pas le bon gâteau que maman a fait ». Arrivés, devant la maison, Stella couru dans la cuisine en criant « Maman, Maman, Barnabé a eu des bonbons de l’épicier mais pas moi. » dit-elle à sa maman. Or, cela, était faux, Barnabé avait partagé avec ses camarades de classe et sa sœur. « Vous en voulez ? », oh oui ! Répondirent-ils. « Pourquoi fait-tu ça l’étranger ? ». « J’en ai beaucoup trop pour moi, c’est pour cela que je vous en propose. ».
Le soir il n’eu pas droit au bon repas qu’avait sa maman, pour l’anniversaire de sa sœur car il était punit tout comme la veille et eu droit comme la veille à du pain sec et de l’eau. Peiné, il ouvrit la fenêtre et se sauva pour aller se faire consoler par le vieux berger. Il connaissait le chemin. Nous étions en octobre. Il faisait déjà frisquet. Il arriva près du chemin qui monte à la montagne. Il montait, montait, faisant bien attention où il mettait ses pieds. La température se rafraîchit. « Tant pis » se dit-il. Un peu plus loin, il commença à trouver la neige, n’écoutant que son courage, il continua, lui le petit guadeloupéen, fraîchement arrivé dans ce village de montagnes. Enfin, il arriva à la cabane du vieux berger. Il y avait déjà, au moins dix centimètres de neige. Il frappa à la porte et le berger lui ouvrit. Il fut étonné de voir son petit visiteur, son petit copain qui venait parfois l’aider à garder ses bêtes. « Entre » lui dit-il « et met toi près de la cheminée, tu doit être gelé. ». « Que fait-tu ici lui demanda t-il tout en lui donnant une soupe bien chaude. ».
« Mes parents ne m’aiment pas, voilà deux jours où je dois aller dans ma chambre pour ne manger que du pain et boire de l’eau ».
« Oh, Seigneur ». « Pourquoi, tes parents te font-ils cela ? ».
« Je ne sais pas ».
« Ecoute tu va passer la nuit et demain on redescendra tous les deux. »
Dans la nuit, la neige était tombée en abondance et le village devenait inaccessible. Dans la cabane, le berger avait prévu des provisions dans le cas où cela se produirait.
« Barnabé, met ça », le berger lui tendit une veste en laine de mouton qui était très chaude et lui mit un béret, en l’enfonçant pour que cela lui couvrit les oreilles.
« Tu viens m’aider à rentrer les bêtes ? ».
« Oh ! Oui, t’es gentil, Jean ».
Jean comprenait bien ce petit garçon car lui aussi avait connu les mêmes problèmes et lui aussi c’était réfugié prés d’un vieux berger.
Les bêtes furent rassemblées avec l’aide de Dady la chienne, boader colley. « Maintenant, tu vas rentrer et boire quelque chose de chaud, car je ne veux pas que tu sois malade ».
Le gamin lui fit un signe d’acquiescement de la tête.
Le soir venu, ils ne purent encore descendre au village.
Un jour, où Jean le berger était dans l’étable, l’enfant alla se promener un peu plus haut dans la montagne, c’était imprudent, l’enfant le savait mais il lui avait semblé entendre des cris. « Quelqu’un c’est donc perdu ? » se demanda t-il. Plus il approchait, plus les appels au secours se faisaient entendre. Il se dirigea dans cette direction. Il aperçut soudain, des bras levés. Une personne était en danger, il fallait la sauver, « Redescendre ? Non » se dit-il, celle-ci mourra de froid avant que l’aide arrive. Il arriva, enfin, près de la personne et reconnu le maire. Le maire du village était un alpiniste chevronné, comment avait-il pu avoir un accident, se demanda t-il. « Petit, va vite chercher des secours, des compagnons de cordée sont ensevelis dans l’avalanche ». Le petit, couru jusqu’à perdre haleine, évitant la cabane où le vieux berger se trouvait car il lui aurait certainement interdit d’aller au village chercher les secours. En descendant, il ne faisait pas attention, il n’avait qu’une idée en tête sauver Monsieur le maire.
« Ouf ! Enfin, me voici arrivé » se dit-il. Ses parents regardaient leur fille jouer avec les autres enfants, la gamine l’aperçue « Maman, maman, j’ai vu Barnabé. ». L’épicier habitait deux maisons plus loin que sa famille, il y rentra telle une bombe. « Monsieur, monsieur, faut prévenir les secours ».
« Que se passe t-il Barnabé ? ».
« Monsieur le maire et ses amis ont été pris dans une avalanche. ».
« Calme toi, calme toi. ».
« Où était tu ? Tes parents étaient très inquiets. » Dit-il tout en se préparant pour accompagner les secours.
« Ils ne m’aiment pas. ».
« Pourquoi dit-tu ça ? ».
« Je suis toujours puni ».
« Tu vas accompagner les secours car toi seul, connaît l’endroit où Monsieur le maire et ses amis se trouvent ».
Il y avait tout dans l’épicerie, aussi bien des aliments que des chaussures, vêtements, mercerie, enfin, bref ! Tout un bric à brac.
L’épicier alla chercher l’anorak en plumes de son fils et un bonnet de laine puis il lui mit des chaussettes bien chaudes, des chaussures de montagne et des guêtres. Il était habillé, tout comme « les hommes » et en était fier. L’épicier vêtu comme le petit garçon le pris sur ses épaules et pris la direction de l’endroit où se trouvaient les secours.
« Qu’est-ce que tu viens faire ici Pierre ? Nous n’avons pas eu d’alertes, le maire nous l’aurait dit. »
« Et bien, justement, Marcel, s’il n’y a pas eu d’alerte, c’est parce que le maire est en danger et qu’il faut le secourir. C’est ce jeune homme » dit-il en désignant Barnabé « qui a donné l’alerte ».
« Comment ? Mais où était tu ? Nous te cherchions partout. »
« Assez discuter, Marcel, on en parlera après. »
Les secours partirent. Pierre avait gardé l’enfant sur ses épaules.
« Dites, Monsieur, on peut aller voir Jean ? Il a du me chercher partout et doit être inquiet. »
Ils arrivèrent près de la cabane du berger, tocquèrent à la porte qui s’ouvrit. Le vieux berger avait cherché le gamin mais ne le trouvant pas, il avait cru qu’il était rentré chez ses parents. « Quelle imprudence » c’était-il dit « mais je suis sur qu’il arrivera sans problème au village, il est dégourdi ce gamin ».
Hébété, le berger regarda les secours et l’enfant sur les épaules de Pierre. « Qu’arrive t-il ? »
« Une cordée dont fait parti Johannes, notre maire a été prise dans une avalanche. C’est le petit qui a donné l’alerte ».
« Comment, comment » dit le vieux berger en regardant Barnabé.
« Je te demandes pardon Jean, je ne voulais pas t’inquiéter, dit tu ne va me punir ? »
« Mais pourquoi le ferais-je ».
« Parce que tu t’es inquiéter ».
« Mais non, pitchoune ».
Barnabé avait les larmes aux yeux car c’était la première fois que l’on était aussi gentil avec lui.
Les secours avaient pris un peu d’avance, mais Pierre, faisait de grandes enjambées et rejoignit ses compagnons.
Barnabé leur montra le chemin, puis Pierre le redescendit dans la cabane de Jean, ses yeux se fermaient « Ce môme est fatigué » se dit-il, « je vais demandé à Jean, s’il peut l’héberger ».
Pierre pris l’enfant dans ses bras, ouvrit la porte de la cabane. Jean avait déjà préparé son lit pour coucher l’enfant. Il lui mit une couverture bien chaude.
Pierre était resté pour que l’enfant raconte pourquoi ses parents ne l’aimait pas, il ne comprenait pas, le maire et ses compagnons avaient aussi passés la nuit dans la cabane.
Le lendemain matin, Barnabé, mangea de bonnes tartines beurrées et bu un chocolat chaud avec du lait bourru, une fois restauré, l’enfant raconta son histoire. Certains, parmi les secouristes avaient du mal pour ne pas verser une larme, sur le calvaire qu’avait vécu cette enfant.
Le maire, représentant de la police dans sa commune, redescendit avec les secouristes et Barnabé. Touché par l’histoire de l’enfant, il alerta les services sociaux et Pierre demanda à ce que « le petit » comme il l’appelait resta chez lui et non emmené dans un orphelinat.
Après, quelques jours de congé, Barnabé se rendit à l’école avec le fils de Pierre qui l’avait appelé l’étranger mais qu’il respectait et allait défendre de ses camarades de classe au cas où, l’un d’entre eux soit méchant avec lui. Il le considérait comme un héros, il avait sauvé, il fallait le respecter.
Une surprise attendait, Barnabé. En effet, dans la cour de l’école, se trouvaient non seulement tous ses camarades de l’école unique qui avaient inventé une chanson mais aussi le maire et tous les guides secouristes en habit, leurs cordes sur l’épaule.
Lorsqu’il arriva, Pierre le prit dans ses bras car il était encore un peu pâlot, puis ses camarades de classe entamèrent la chanson qu’ils avaient composée avec leur maître d’école. les guides, s’écartèrent pour laisser Pierre et Barnabé s’approcher vers le maire. « Mon petit, je te remet, la médaille que reçoive les secouristes ». Barnabé embrassa Monsieur le maire qui lui dit « Regarde, Petit, la médaille, ils l’ont tous, désormais, je te nomme guide secouriste d’honneur. » et Barnabé essuya une larme. Il n’aurait jamais pensé, lui le petit guadeloupéen dont la famille avait été rejetée par la population du village, être honoré comme il l’était en ce jour.
« Monsieur le Maire, où se trouve mes parents, je ne les voient pas ? ». « Le juge les a entendu et les a sermonnés. Ils n’ont plus le droit de vous voir, toi et ta sœur. » Il lui expliqua, alors que les personnes qui étaient méchantes avec leurs enfants ne pouvaient plus les voir, sauf si l’enfant le voulait, mais seulement à partir d’un certain âge que Barnabé n’avait pas encore atteint.
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MessageSujet: POLAR   mes écrits Icon_minitimeDim 5 Nov - 3:01

LES TRIPLES

Il était une fois des triplés, deux d'entre eux étaient assassins, l'un agissait le jour, l'autre la nuit, le 3éme était un correspondant journaliste chargé des affaires judiciaires. Il n'est pas riche.
Un jour, une femme est assassinée dans le terrain vague près de l'immeuble qu'habite Daniel Locomovitch. Un témoin l'a reconnu et il prévient la police qui l'arrête.
De toute façon se dit-il au procès, je demanderais à l'avocat qui se chargera de l'affaire de plaider mon innocence. En effet, les articles qu'il écrit dans les différents journaux lui permettent tout juste de finir le mois. Il aura par conséquent, un avocat commis d'office.
Les crieurs de journaux crient la une des journaux qu'ils vendent "L'assassin enfin arrêté" ce qui interpellent les passants.
Cependant les crimes continuent de plus en plus belle. L'un des 2 assassins celui qui commet les crimes la nuit se déguise en loup garou pour ne pas se faire reconnaître, celui qui commet les crimes le jour commet ces actes soit dans l'ascenseur soit chez ses futures victimes. Ce dernier se gare près d'un immeuble et attend les femmes seules à l'heure où celles-ci reviennent de faire leurs courses du supermarché du coin. Lorsque l'une d'entre d'elles passent il se propose galamment de porter son panier, puis il prend l'ascenseur avec elle en prétextant habiter l'immeuble, celles-ci ne se méfient pas et pour le remercier lui offre l'apéritif.
Il passe une jeune femme fort chargée, celui-ci lui propose de l'aider, ils prennent l'ascenseur et elle l'invite à prendre l'apéritif pour le remercier. "Il me semble vous connaître" lui dit-elle." En effet, j'habites à l'étage au-dessus" répondit-il.
Celui -ci lui demande de se rafraîchir la figure, elle lui désigne la salle de bains, il prend une paire de ciseaux qu'il trouve dans le placard à pharmacie et se dirige vers sa victime qui se trouve de dos, en effet, elle prépare l'apéritif. Celle-ci l'a entendu venir, dans les journaux, elle a vu la photo de l'homme qui se trouve en prison, lui a parlé, il lui a même dit qu'il était innocent, elle l'a cru. Iona a beaucoup d'intuition ce qui énerve un peu ces collègues au 36 quai des Orfèvres. En effet, fraîchement sorti de l'école, elle a le grade de lieutenant.
Elle a demandé à son supérieur hiérarchique d'aller voir l'homme accusé d'assassinat, celui a accepté, avec un sourire moqueur.
Daniel Locomowitch attend au parloir. Il va enfin pouvoir parler à quelqu'un de la police et lui dire qu'il est innocent. Iona le croit . En sortant de la prison, elle en est sure, ce ne peut être lui, il est trop sincère.
Revenant de la prison, elle fait part à son supérieur hiérarchiqe de son intuition, si ce n'était pas lui, il a peut être un frère ? Mais son supérieur ne la prend pas au sérieux mais se dit-elle " Pourquoi n'aurait-il pas de frère ?". L'un de ses amis est journaliste, Iona lui propose de faire une enquête parallèle, car elle est persuadée que l'homme en prison n'est pas un assassin.
Soudain, elle réalise où elle a vu le visage de cet homme à qui elle offre l'apéritif. C'est celui de Daniel Locomowitch, mais il en prison. Dans son appartement, se trouve la copie conforme de Daniel Locomowitch, il a le même grain de beauté, ils se ressemblent tellement se dit-elle qu'il doit être son sosie ou peut être son frère.
Iona n'a pas peur car après les heures passées au commissariat celle-ci va faire des arts martiaux et de plus les maîtrisent fort bien. "Je saurais me défendre s'il m'agresse" se dit-elle.
Elle sait ce que va faire l'homme qui se trouve chez elle, car il agit toujours de la même façon, avec un objet tranchant, il leurs tranche la carotide.
La sachant intrépide, le journaliste averti ses supérieurs d'agir rapidement, d'essayer de la joindre, le téléphone sonne mais l'homme arrache le fil, elle tente une prise de karaté mais il est très fort et l'a maintient contre lui. Il approche la paire de ciseaux de la gorge de Iona mais juste à ce moment là, ses collègues défoncent la porte de l'appartement mais l'homme se tranche la carotide devant eux car il ne veut pas être emprisonné.
Au même instant, Daniel Locomowitch ressent une vive douleur au niveau du cou, il demande alors à ce qu'un policier l'entende. "Mon frère est mort " dit-il au policier qui s'est déplacé. Abasourdi, le policier, un collègue de Iona, Wladimir Cosmopolitch lui demande pourquoi, il demande cela. "Ma mère a mis au monde des triplés. Elle est morte de chagrin en voyant mes frères devenir des voyous. Lorsque nous étions petits nous étions vêtus pareillement". Cosmospolitch repense à l'enfant qui a vu quelque chose, mais que l’on n’a pas cru. "Il était habillé d'une peau de bête" leur avait-il. Cosmos appelle ses supérieurs et leur explique qu'il faut retourner voir l'enfant. Celui-ci, joue au ballon avec d’autres. Il reconnaît les policiers qui lui disent d'approcher. "Où habite la personne dont tu nous as parlé". "Il n'habite pas loin, c'est là-bas dans la cabane" leur dit-il en désignant du doigt un abri de jardin. Les policiers se dirigent vers le domicile de cet homme et font les sommations d'usage mais n'obtiennent aucune réponse. Nous sommes en automne et il fait nuit tôt. "Il nous faut des témoins" dit celui qui dirige l'opération, alors il demande à deux personnes de leur servir de témoins. Un policier crochète la serrure mais la porte n'est pas fermée Il paraît n'y avoir personne. Sur une paillasse, se trouve les vêtements fait en peau de bête, les vêtements du loup-garou, et dans un coin, allongé se trouve l'homme, mort, à côté de son corps se trouve une lettre. Celle-ci dit ceci : "Daniel est innocent, il a toujours été honnête. David et moi, le rejetions de nos jeux au désespoir de notre mère."
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MessageSujet: Mes écrits et polars   mes écrits Icon_minitimeMar 7 Nov - 0:04

Vous ne les trouverez nulle part car ils sortent de mon imagination.
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MessageSujet: Re: mes écrits   mes écrits Icon_minitime

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